L’artiste franco-congolais Gims est récemment monté sur la scène du Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo (FEMUA) en Côte d’Ivoire, un lieu significatif pour lui. Lors du festival, Gims a évoqué sa première prestation en Côte d’Ivoire et son affection durable pour le public ivoirien.
Il y a douze ans, il s’est produit pour la première fois en Côte d’Ivoire avec son groupe Sexion d’Assaut. À son retour au FEMUA en tant qu’artiste solo, il a exprimé la même excitation et une profonde connexion émotionnelle avec le pays.
« Douze ans plus tard, revenir sur la scène du FEMUA en solo, après y avoir été avec Sexion d’Assaut, procure la même émotion, mais différente, évoluant comme la Côte d’Ivoire », a déclaré le frère de Dadju.
Gims a souligné l’importance de son premier concert en Afrique, qui a eu lieu en Côte d’Ivoire, laissant une impression durable et créant un lien unique avec le public ivoirien. « Mon premier concert en Afrique était en Côte d’Ivoire avec Sexion d’Assaut. C’était la première fois que je voyais mon visage sur des affiches, et c’était à Abidjan », se souvient-il.
Il ressent un profond sentiment d’appartenance chaque fois qu’il visite la Côte d’Ivoire, qu’il considère comme une seconde patrie. « Il y a un lien vraiment spécial avec la Côte d’Ivoire. Quand j’arrive ici, je ne suis plus objectif, parce que c’est chez moi. Je sais qu’il y a beaucoup d’amour pour moi ici et je le vois constamment quand j’arrive », a partagé Gims.
Pour lui, la Côte d’Ivoire reste l’un des pays où sa musique est la plus appréciée et écoutée. « La Côte d’Ivoire est le deuxième pays où l’on m’écoute le plus, selon mes réseaux », a-t-il affirmé. Il a lancé la première journée du festival sur la grande scène du FEMUA, aux côtés d’artistes comme Sona Jobarteh, Patché Di Rima, Les Patrons et Fadal Dey, devant un public enthousiaste et exceptionnel.
