Après les éloges de Davido à l’égard de Rema, le rappeur Didi B prend la parole pour exprimer son profond respect envers son compère.
Récemment, Didi B a rendu un hommage émouvant à Meiway, une figure incontournable de l’industrie du divertissement en Côte d’Ivoire, en Afrique et au-delà, et le frère de l’actrice Nastou dans la série “Ma Famille”. Meiway compte parmi ces rares artistes qui ont inspiré plusieurs générations, et Didi B a tenu à lui rendre hommage en exprimant son admiration et son estime pour lui.
Ce rappeur ivoirien très en vue se distingue non seulement par son engagement philanthropique récent envers la fondation de la Première dame de Côte d’Ivoire, mais également par sa reconnaissance constante envers les figures éminentes de la musique. Didi B a exprimé dernièrement son opinion sur Meiway, le considérant comme l’un des piliers de la culture africaine et se déclarant un fan inconditionnel de l’artiste depuis ses débuts.
Il partage : « Mon immersion dans le monde de la musique a été précipitée par le rôle que j’ai joué dans le clip (death society) de ce génie de la musique. Sa présence à la télé m’émerveillait. Pour moi, il était comme mon Michael Jackson, avec son style sur scène, son esprit, sa voix, sa folie, son charisme ! En devenant plus professionnel, j’ai mieux saisi le génie de ses arrangements, de ses expérimentations. »
« En parlant de musique, je pense sincèrement que cet homme a créé une musique intemporelle. Il a représenté et continue de porter haut le nom de notre pays. Son style artistique est un véritable symbole de joie pour toutes nos célébrations, mariages, anniversaires. Il incarne l’esprit festif ivoirien. Nous sommes tous unanimes à ce sujet. Tu es mon héros, je t’ai écouté, je t’écoute et je continuerai de le faire. Je reste à ton écoute pour apprendre. Tu es le maître des accords magiques, le roi de la structure musicale. Tu es le professeur Awolowo. Je connais tous tes albums. Je tiens juste à te rendre hommage de ton vivant car tu es notre légende. Merci tonton Meiway », a conclu Didi B.
Romuald Angora