Kylian Mbappé, l’un des footballeurs les plus en vue et coûteux du monde, a récemment partagé une anecdote marquante sur ses débuts en équipe nationale.
Dans une interview chargée d’émotion, il a affirmé son attachement profond à la France tout en expliquant pourquoi il n’a jamais envisagé de jouer pour le Cameroun, le pays d’origine de son père.
“Je suis Français, pas Camerounais,” a déclaré Mbappé avec une conviction sans équivoque. L’attaquant du Paris Saint-Germain et de l’équipe nationale française a révélé que, lorsque sa carrière était encore à ses débuts et dans l’ombre, son père avait exploré la possibilité de le faire jouer pour l’équipe nationale camerounaise.
Cependant, cette option a rapidement été écartée. “On nous a demandé une somme d’argent importante pour rejoindre l’équipe,” a raconté Mbappé. “Mon père était déçu par cette demande et a donc choisi de se tourner vers la France.”
Ce choix a marqué un tournant décisif pour Mbappé. “La France m’a donné l’opportunité de montrer de quoi j’étais capable,” a-t-il expliqué. Sous les couleurs tricolores, il a connu une ascension rapide, remportant notamment la Coupe du Monde en 2018 à seulement 19 ans. Aujourd’hui, il est reconnu comme l’un des joueurs les plus talentueux et influents de sa génération.
Malgré la reconnaissance du Cameroun pour son talent exceptionnel, le pays a récemment tenté de le reconquérir en lui proposant la nationalité camerounaise. Une offre que le joueur a gentiment, mais fermement déclinée. “Le Cameroun me sollicite en m’offrant une nationalité qui n’est pas la mienne. Je suis Français et je le resterai,” a-t-il affirmé avec détermination.
Cette déclaration de Mbappé souligne non seulement son attachement à la France, mais aussi son parcours exemplaire et les valeurs qui l’ont guidé tout au long de sa carrière. Pour les jeunes footballeurs aspirants, son histoire est une source d’inspiration et un rappel que le talent, la détermination et les bonnes opportunités peuvent mener au sommet, malgré les obstacles rencontrés en chemin.
