Sur internet, un utilisateur a partagé ses épreuves concernant la situation difficile que sa femme lui impose depuis qu’elle a découvert son infidélité. Il décrit les souffrances de la torture psychologique qu’il endure.
Après avoir appris la tromperie de son mari, la femme a réagi sans violence, refusant de quitter le domicile. Au contraire, elle a averti son mari qu’elle allait lui révéler son vrai caractère.
Plus tard, le mari réalise que sa femme est une manipulatrice et partage son histoire en ligne, cherchant des conseils. Il raconte : “Ma vie est devenue un enfer à la maison, j’ai même peur de dormir la nuit. J’ai succombé à mes faiblesses et trompé ma femme à plusieurs reprises. Je ne sais vraiment pas comment elle a découvert la vérité. Au début, j’ai nié, mais lors de la dispute, j’ai finalement avoué. Je lui ai alors dit que j’étais un homme et que j’avais le droit de faire ce que je voulais. En réponse, elle m’a menacé en affirmant qu’elle allait me montrer que, après Satan, c’est elle qui était à craindre.”
Il ajoute : “Je pensais qu’elle parlait sous le coup de la colère, mais j’ai été choqué quand j’ai reçu des photos d’elle sur WhatsApp. Elle avait filmé mon intimité avec un couteau posé dessus, dans notre propre chambre. J’étais terrifié. Récemment, je me suis réveillé pour la trouver assise dans le noir, à m’observer. J’ai dû fuir dans le salon pour dormir. Je lui ai déjà présenté des excuses et j’ai montré des preuves que je ne cherchais plus de relations en dehors du mariage. Un matin, j’ai trouvé une croix rouge dessinée sur mon ventre, mais je ne comprends pas ce que cela signifie.”
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“Maintenant, je sursaute dans mon sommeil et je la trouve parfois dans la cuisine, la nuit, en train de boire du thé avec un couteau à la main. Comment peut-on traumatiser son conjoint de cette manière ? Quand j’essaie de parler, elle me demande de patienter jusqu’à la fin de son propre ‘film’. J’ai peur de rentrer chez moi, peur de dormir, peur d’elle. Je ne reconnais plus la femme douce, calme et souriante qu’elle était. Dois-je en parler à ma famille, s’il vous plaît ?”